a liste des 25 joueurs de l’équipe de France pour l’Euro 2024

Gardiens: Alphonse Areola (31 ans, 5 sélections, West Ham), Mike Maignan (28 ans, 14 sélections, AC Milan), Brice Samba (30 ans, 3 sélections, Lens)

Défenseurs: Jonathan Clauss (31 ans, 12 sélections, Marseille), Théo Hernandez (26 ans, 25 sélections, AC Milan), Ibrahima Konaté (25 ans, 14 sélections, Liverpool), Jules Koundé (25 ans, 26 sélections, Barcelone), Ferland Mendy (30 ans, 9 sélections, Real Madrid), Benjamin Pavard (28 ans, 53 sélections, Inter Milan), William Saliba (23 ans, 13 sélections, Arsenal), Dayot Upamecano (25 ans, 18 sélections, Bayern Munich)

Milieux de terrain: Eduardo Camavinga (21 ans, 15 sélections, Real Madrid), Youssouf Fofana (25 ans, 17 sélections, Monaco), Antoine Griezmann (33 ans, 127 sélections, Atlético de Madrid), N'Golo Kanté (33 ans, 53 sélections, Al-Ittihad), Adrien Rabiot (29 ans, 43 sélections, Juventus), Aurélien Tchouaméni (24 ans, 31 sélections, Real Madrid), Warren Zaïre-Emery (18 ans, 2 sélections, PSG)

Attaquants: Bradley Barcola (21 ans, 0 sélection, PSG), Kingsley Coman (28 ans, 55 sélections, Bayern Munich), Ousmane Dembélé (27 ans, 43 sélections, PSG), Olivier Giroud (37 ans, 131 sélections, AC Milan), Randal Kolo Muani (25 ans, 15 sélections, PSG), Kylian Mbappé (25 ans, 77 sélections, PSG), Marcus Thuram (26 ans, 18 sélections, Inter Milan)

Nettement supérieure, l’Atalanta Bergame n’a pas fait de sentiment face à l’OM (3-0) et s’est qualifié, ce jeudi, pour la finale de la Ligue Europa. Les Italiens ont asphyxié les intentions phocéennes et réduit les hommes de Jean-Louis Gasset au silence. Le rêve prend fin pour les Phocéens, impuissants.

L’Atalanta Bergame n’a à vrai dire pas laissé la moindre chance aux Phocéens. En pressant systématiquement le porteur du ballon et en quadrillant chaque centimètre carré du terrain, les Bergamasque ont construit leur qualification avec la manière. Après avoir heurté le poteau (7') et la barre transversale (24'), la différence s’est faite sur une frappe déviée d’Ademola Lookman (1-0, 30').

Encore en vie à la pause, presque par miracle, l’OM a pour autant très vite replongé dans la foulée. S’ils peuvent regretter le lob imprécis d’Iliman Ndiaye au retour des vestiaires (50'), la punition est intervenue deux minutes plus tard. En envoyant une lourde frappe dans la lucarne de Pau Lopez, Mattéo Ruggeri a mis un coup derrière la tête aux Marseillais (2-0, 52') avant qu’El Bilal Touré, entré en cours, ne parachève le succès de l’Atalanta dans le temps additionnel (3-1, 90'+4).

Le rêve est passé. L'OM doit maintenant se concentrer sur le championnat et sur la conquête d'une sixième voire septième place en Ligue 1 qui lui offrirait un deuxième jeton pour retourner en Europe. La saison prochaine, cette fois.

Malgré la ferveur du Parc des Princes, le Paris Saint-Germain est passé à côté de sa demi-finale retour face au BVB (0-1). La faute à une sidérante inefficacité devant le but, source d’un nouvel échec dans la stratégie du club.

L’entraîneur du Paris Saint-Germain (PSG), Luis Enrique, a choisi la veine fataliste pour qualifier, mardi 7 mai, la défaite de son équipe face au Borussia Dortmund (0-1), lors de la demi-finale retour de la Ligue des champions, au Parc des Princes. Sans doute voulait-il garder pour lui les constats qui, au-delà d’une incontestable malchance, expliquent aussi la nouvelle déconvenue, au terme d’une double confrontation qui avait paru abordable et suscité un optimisme, a posteriori excessif, au club et dans son environnement.

La saison européenne du PSG s’achève donc par un revers sur le même score que celui du match aller, disputé six jours plus tôt en Allemagne. Comme en 2021, autre année de demi-finale, Paris manque la dernière marche de la compétition européenne majeure. Mais cette fois, ce n’est pas Manchester City et son effectif hors du commun qui lui barrent la route : juste une équipe solide, structurée, un collectif mêlant harmonieusement expérience et jeunesse, densité athlétique et vivacité. Un modèle, oserait-on presque, pour un club parisien qui a ouvert cette saison un nouveau cycle, qui se veut davantage fondé sur le collectif, mais mesure une fois encore le chemin qui lui reste à parcourir pour façonner une machine à gagner sur la scène européenne.

Dans son antre du Stade Vélodrome, l’Olympique de Marseille est capable de tout. Poussés par tout un peuple, les Marseillais étaient venus à bout du Benfica Lisbonne en quart de finale après s’être fait des frayeurs lors des huitièmes contre Villarreal. Les joueurs de Jean-Louis Gasset tentaient alors de prendre le meilleur sur les Italiens de l’Atalanta Bergame ce jeudi soir.

Depuis sa victoire contre Benfica, l’OM n’avait plus perdu et restait sur un joli succès face au RC Lens le week-end dernier à la maison (2-1).

L'OM pouvait compter sur Pierre-Emerick Aubameyang, l’homme des grands matchs, qui compte déjà 10 buts en Ligue Europa cette saison. Ce soir, il a manqué d’efficacité, à l’image de son face-à-face raté (43').

Marseille pouvait espérer mieux et devra sortir un grand match la semaine prochaine en Italie pour se qualifier.

Battu par le Borussia Dortmund (1-0), sur un but de Niclas Füllkrug, ce mercredi 1er mai, en demi-finale aller de Ligue des champions, le PSG est dos au mur avant le match retour au Parc des Princes la semaine prochaine. Pourtant favoris, les Parisiens se sont montrés amorphes et devront renverser la vapeur pour se qualifier en finale.

Dans une première période plutôt fermée, ce sont les Allemands qui se sont montrés les plus dangereux, deux fois par Marcel Sabitzer, alors que le PSG n’a pas cadré le moindre tir. La différence est finalement venue de Niclas Füllkrug, parti à la limite du hors-jeu pour battre Gianluigi Donnarumma (1-0, 36').

La deuxième période a en revanche commencé tambour battant pour les joueurs de Luis Enrique qui ont touché deux fois le poteau lors de la même action sur des tirs de Kylian Mbappé et Achraf Hakimi (51'). Les deux équipes se sont ensuite créé quelques occasions sans parvenir à faire trembler les filets avant le match retour au Parc des Princes mardi prochain.

Point noir de la rencontre : la sortie sur blessure de Lucas Hernandez, touché au genou sur l’action du but alors que le match retour est dans une semaine et que l’Euro débute dans un mois et demi.

Le Bayern Munich et le Real Madrid se sont neutralisés (2-2) lors des demi-finales aller de la Ligue des champions. Malgré un léger avantage en faveur des Merengues, tout restera à faire lors du match retour qui se déroulera la semaine prochaine au stade Santiago-Bernabeu.

Le Real Madrid a arraché un nul 2-2 mardi soir sur la pelouse du Bayern Munich, grâce à un doublé de Vinicius Jr, et sera en ballottage favorable mercredi prochain en demi-finale retour de Ligue des champions.

En quatre minutes, Leroy Sané (53e) et Harry Kane (57e sur pénalty) avaient pourtant renversé un match mal entamé pour le Bayern, avec un but de Vinicius dès la 24e minute. Mais le Brésilien a frappé une deuxième fois sur pénalty (83e) pour arracher le score de parité.

e Real Madrid devra confirmer son résultat la semaine prochaine face à une équipe bavaroise qui sera bien évidemment remontée puisque la Ligue des champions est la dernière compétition où elle peut aller chercher le titre.

Incroyable scénario à Lyon. Menées par le PSG avec un doublé de Marie-Antoinette Katoto, les Lyonnaises ont inscrit trois buts en six minutes dans le money-time pour s'imposer devant les Parisiennes (3-2) samedi, en demi-finale aller de la Ligue des champions. Kadidiatou Diani, Daelle Merchie Dumornay et Amel Majri ont placé l'OL en position de force avant le match retour la semaine prochaine.

Lyon est revenu de nulle part et le Groupama Stadium est entré en éruption. Apathiques, menées logiquement 2 à 0 par un PSG supérieur jusqu’aux dix dernières minutes du temps additionnel, les Lyonnaises ont inscrit 3 buts en 6 minutes pour renverser le PSG devant une foule record (38 466 spectateurs) et euphorique après la réalisation d’Amel Majri, qui permet à Lyon de se déplacer sur la pelouse du PSG, le 28 avril prochain, en position de force (3-2).

Et pourtant, le PSG a longtemps cru être bien lancé vers une 3e finale de Ligue des champions dans son histoire. Après un début de match où les deux formations se sont rendues coup pour coup (4e, 7e, 9e, 21e, 23e), ce sont bien les coéquipières de Marie-Antoinette Katoto qui se sont montrées les plus dangereuses.

L’OM a renversé Benfica aux tirs au but, ce jeudi 18 avril, en quart de finale retour de la Ligue Europa. Les Marseillais ont réalisé un grand match pour sortir le club portugais. Buts, temps forts… Découvrez en vidéo le résumé de l’incroyable OM - Benfica en Ligue Europa.

Les Olympiens ont attendu la 79e minute pour revenir au score grâce à Moubamgna, bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang. Battu à l’aller (2-1), ce but permettait aux Marseillais de remettre les pendules à l’heure avant que les deux équipes ne se retrouvent lors de la séance de tirs au but.

L’Olympique de Marseille s’est qualifié pour la quatrième fois de son histoire en demi-finales de la Ligue Europa. Le club phocéen s’est défait du Benfica Lisbonne, ce jeudi 18 avril, à l’issue de la séance des tirs au but (1-0, 4-2 tab).

Les Olympiens ont attendu la 79e minute pour revenir au score grâce à Moubamgna, bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang. Battu à l’aller (2-1), ce but permettait aux Marseillais de remettre les pendules à l’heure avant que les deux équipes ne se retrouvent lors de la séance de tirs au but.

Dans cet exercice, Angel Di Maria plongeait son club dans le désarroi en expédiant sa tentative sur le poteau de Pau Lopez. Derrière, aucun Marseillais n’a raté sa tentative jusqu’à l’échec d’Antonio Silva face au portier espagnol, plongeant ainsi le Vélodrome dans une joie folle.

Alors que Lille se dirigeait vers la première demi-finale européenne de son histoire, le Losc a encaissé un but qui prête à discussion en fin de rencontre, envoyant ce quart de Ligue Europa Conférence en prolongation.

Une situation confuse, et une décision qui fera parler pendant des années en terre lilloise en cas d’élimination en quart de finale de la Ligue Europa Conférence. Auteur d’un match plein et épatant, le Losc menait 2-0 face à Aston Villa, quatrième en Premier League. Et donc, et surtout, 2-1 sur la double confrontation après les buts de Yusuf Yazici (15e) et de Benjamin André (68e).

Arbitre de la rencontre, le Slovaque Ivan Kruzliak a validé le but de Matty Cash sur une lointaine frappe (87e). Mais cette réalisation aurait pu être annulée. Sur le centre précédant ce tir, l’attaquant colombien Jhon Duran a poussé dans les airs Nabil Bentaleb qui est venu heurter Lucas Chevalier.

Le gardien des Espoirs français a alors relâché la balle qui est finalement revenue sur le latéral droit international polonais. Avec la suite que l’on connaît. Sollicité, le VAR a bien validé ce but. Une situation qui prêtait à interprétation. Et celle-ci n’a pas versé en faveur des Dogues.

Après le match nul (2-2) du match aller à Londres, le Bayern Munich s’est imposé ce mardi à domicile face à Arsenal (1-0), en demi-finale retour de la Ligue des champions. Très rapidement, le jeu proposé par les deux équipes laissait imaginer que la première équipe à marquer l’emporterait. C'est ce qu'il s'est passé. Après une première période où les deux équipes se sont appliquées à respecter leur plan tactique défensif, le Bayern a réussi à se créer plusieurs occasions sérieuses en seconde mi-temps jusqu'à l'ouverture du score de Joshua Kimmich, qui a repris de la tête un centre de Guerreiro (63e).

Lors des 45 premières minutes, les deux formations se sont concentrées sur le plan défensif. Les Anglais en 4-4-2 ont constamment cherché à couper la ligne de passe vers Harry Kane, tandis que le Bayern s'est appliqué à couper les envies de Martinelli et Saka en procédant à un pressing à deux sur ces joueurs. En dehors d'une frappe de Mazraoui magnifiquement sauvé par Ben White (21e) et une frappe aux 18 mètres de Martinelli servi par Odegaard (31e), les occasions se sont fait rares.

Malgré l'ouverture du score, les Londoniens n'ont pas trouvé de solution pour prendre à revers la défense adverse. Laimer et Goretka ont fait preuve d'une intensité rare pour venir pallier leurs défenseurs centraux ou aider les latéraux. Symbole de leur importance, ce dernier tacle de Goretzka dans les pieds de Ben White (93e) alors qu’Arsenal venait de jouer un coup franc rapidement.

Avant cela, la charnière centrale allemande a annihilé toute tentative de Havertz, invisible dans ce match. Manuel Neuer n’a eu réellement besoin de s’employer qu’à une reprise, sur la frappe de Martinelli en première période. Ni l’entrée de Trossard, ni celle de Gabriel Jesus n’auront changé le visage d’un Arsenal apathique.