Sur sa pelouse, le RC Lens n’a pas fait mieux qu’un match nul contre le SC Fribourg (0-0), jeudi 15 février. En manque d’inspiration, les Sang et Or peuvent s’estimer heureux de ne pas avoir encaissé de but, bien aidés par leur transversale et par un sauvetage miraculeux de Kevin Danso. La qualification se jouera au barrage retour de Ligue Europa en Allemagne, jeudi 22 février.

Le RC Lens n’a pas trouvé la faille face au SC Fribourg, en barrage aller de la Ligue Europa (0-0), ce jeudi 15 février. Sans solution offensive, les Sang et Or ont subi une partie du match. Ils étaient à deux doigts d’encaisser un but, sur un tir puissant de Roland Sallai qui a percuté la barre (19'), ou encore sur une frappe à bout portant de Maximilian Eggestein sauvée héroïquement par Kevin Danso sur la ligne (58').

À l’inverse, les joueurs de Franck Haise auraient pu ouvrir le score sur corner, lorsque Massadio Haïdara, en deux temps, poussait le ballon au fond des filets avec l’aide de l’épaule (70'). Alors qu’on pensait que l’arbitre allait refuser le but pour une main, c’est finalement à cause d’un hors-jeu qu’il l’a invalidé, après intervention de l’assistance vidéo.

Dans une semaine, jeudi 22 février en Allemagne (18 h 45), le RC Lens aura une belle carte à jouer pour tenter de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Ligue Europa. Et poursuivre son épopée européenne, après sa belle phase de poules de Ligue des champions à l’automne.

Toulouse est passé proche de repartir avec un nul, mais c’est Benfica qui s’est finalement imposé (2-1), ce jeudi 15 février à Lisbonne, en barrage aller de la Ligue Europa. Deux penalties d’Angel Di Maria, dont un dans le temps additionnel, auront suffi à venir à bout des Toulousains. Dans une semaine, les Violets auront l’opportunité de remonter ce petit but de retard au Stadium.

Il aura fallu un doublé sur penalties d’Angel Di Maria (1-0, 68', 2-1 90'+8), qui aura inscrit son deuxième à la toute fin de partie. Sur l’action, Christian Mawissa s’est rendu coupable d’un tacle dangereux dans sa surface et a pris un second jaune en seulement quatre minutes. Son expulsion l’empêchera de disputer le match retour, jeudi 22 février au Stadium (18 h 45).

Les Violets, qui avaient égalisé grâce à Mikkel Desler (1-1, 75'), ont tout de même montré de belles choses dans ce barrage, qui laisse présager un retour enthousiasmant à domicile. Le TFC a concédé la défaite sur le fil mais n’aura qu’un but à remonter, devant son public.

Les Marseillais, qui ont mené deux fois au score, ont été rejoints dans les arrêts de jeu par les Ukrainiens. Le match retour à l’Orange Vélodrome jeudi prochain sera décisif.

À deux reprises, l’OM pensait avoir fait le plus dur. D’abord sur le premier but d’Aubameyang (64e), sur un bon centre de Clauss. À ce moment-là de la partie, les Marseillais semblaient plus en place et surtout plus entreprenants. Mais c’était sans compter la réaction immédiate des Ukrainiens cinq minutes plus tard sur une bourde de Clauss dans sa surface. En fin de partie, bis repetita. En sauveur, Ndiaye marque (90e) et Marseille fonce tout droit vers une victoire. Mais encore une fois, la passivité de toute l’équipe est punie par ce but du remuant Eguinaldo. La «mini-crise» évoquait par Gattuso après le nul face à Metz dimanche dernier en Ligue 1 est visiblement encore bien présente.

Paris a fait le job ! Le PSG s'est imposé 2-0 face à la Real Sociedad lors du 8e de finale aller de la Ligue des champions. Longtemps bousculé et sans idée, les Parisiens ont trouvé la solution grâce à des buts coup sur coup de Mbappé et Barcola.

Le PSG est décidément très fort pour inverser la tendance d’un match en une poignée de minutes. Malmené par la Real Sociedad en 8e de finale aller de Ligue des champions, ce mercredi 14 février, le club de la capitale s’est offert un sacré bol d’air en milieu de seconde période. D’abord grâce à Kylian Mbappé, qui a ouvert le score en renard des surfaces, sur un corner (1-0, 58’).

Moins de quinze minutes plus tard, son coéquipier sur le front de l’attaque, Bradley Barcola, a fait le break (2-0, 70’).

L’ancien Lyonnais a mis au supplice Hamari Traoré, l’ancien Rennais, sur le côté gauche de la surface, avant de s’engouffrer dans l’espace et de tromper Alex Remiro à bout portant.

Barcola, qui affiche d’impressionnants progrès depuis plusieurs semaines, permet au PSG d’entrevoir de manière assez claire les quarts de finale de la Ligue des champions.

Battue à deux reprises lors de la phase de poules avec à sa tête Jean-Louis Gasset, la Côte d’Ivoire a remporté trois semaines plus tard sa troisième CAN en battant le Nigéria en finale (2-1).
Miraculés du premier tour de cette CAN, les Éléphants du jeune Emerse Faé (40 ans) ont largement dominé leur adversaires qui a pourtant ouvert le score sur une tête imparable d'Ekong.
Après de multiples occasions, c'est le milieu ivoirien Kessié qui a égalisé sur corner, avant que Sébastien Haller ne délivre tout un peuple à dix minutes de la fin.

Le Qatar a remporté sa deuxième Coupe d’Asie des nations consécutive, ce samedi, en dominant la Jordanie (3-1) devant 80 000 personnes au stade de Lusail (Qatar). Lors d’une rencontre d’abord fermée et marquée par de nombreuses fautes (26), Al-Annabi a bénéficié de trois penaltys, tous inscrits par Akram Afif, meilleur joueur et meilleur buteur de cette Coupe d’Asie 2023 avec huit buts… Et surtout fin magicien, comme il l’a prouvé sur la célébration de son premier but.

Fin du rêve en revanche pour la Jordanie, outsider, qui aura tout de même atteint ce stade de la compétition pour la première fois de son histoire, et existé dans cette finale, à l’image de l’égalisation de Yazan Al-Naimat en milieu de deuxième période. Et quelle égalisation !

José Mourinho a été démis de ses fonctions d'entraîneur mardi par la direction de la Roma. Une décision qui a surpris beaucoup de monde en Italie, malgré la crise de résultats traversée par le club romain. Elle pose quelques questions, des autres raisons éventuelles pour expliquer son départ à son avenir en passant par son bilan sur le banc des Giallorossi.

Franz Beckenbauer, légende du football allemand et double Ballon d’Or en 1972 et 1976, est mort ce lundi 8 janvier, a annoncé la Fédération allemande de football. À 78 ans, l’ancien défenseur central du Bayern Munich et de la Nationalmannschaft était en mauvaise santé à cause de plusieurs opérations au cœur.

Franz Beckenbauer, légende du football allemand, est décédé dimanche 7 janvier à l’âge de 78 ans, a annoncé la Fédération allemande de football. L’ancien défenseur central du Bayern Munich et de la Nationalmannschaft, Ballon d’Or en 1972 et 1976, était hospitalisé depuis plusieurs mois après avoir subi plusieurs opérations au cœur.

Depuis le mois d’avril, il avait disparu des médias en raison de l’aggravation de son état de santé. Lothar Matthäus avait ensuite exprimé son inquiétude : « Nous lui souhaitons le meilleur, qu’il retrouve son énergie d’antan. Bien sûr, nous espérons qu’il ira mieux. Franz a toujours dit que la santé était la chose la plus importante dans la vie. Il ne l’a pas en ce moment. »

Figure légendaire du football mondial pendant plus d’un demi-siècle comme joueur, entraîneur et dirigeant, Franz Beckenbauer laisse l’Allemagne et la Bavière orphelines de leur « Kaiser ». L’annonce de sa mort, lundi en fin d’après-midi, a soulevé une vague d’émotions à la hauteur de l’empreinte qu’il laisse sur la planète foot.

Le Brésilien, surnommé "le professeur", a remporté deux fois la coupe du monde en tant que joueur et deux fois en tant qu'entraîneur. Il est mort à 92 ans.

Quatre coupes du monde pour l’éternité. Le Brésilien Mário Zagallo, légende mondiale du football, est mort ce vendredi 5 janvier 2024, a indiqué sa famille sur Instagram. Il avait 92 ans.

« C’est avec un grand regret que nous vous annonçons le décès de notre éternel champion du monde Mário Jorge Lobo Zagallo. Un père dévoué, un grand-père aimant, un beau-père attentionné, un ami fidèle, un professionnel victorieux et un grand être humain. Idole géante. Un patriote qui nous laisse un héritage de grandes réalisations. »

nitialement prévu à Bangkok le 5 août, le Trophée des champions s'est finalement déroulé au Parc des Princes un 3 janvier, et sous une pluie non pas tropicale mais hivernale. Et le PSG a gardé la mainmise sur une épreuve qui ne lui échappe plus, ou presque. Vainqueur de Toulouse avec méthode (2-0), le champion de France a inscrit son nom au palmarès pour la douzième fois, la dixième lors des onze dernières éditions (une seule défaite, contre Lille en 2021). Le premier titre de l'ère Luis Enrique.

Dans une ambiance bien terne au Parc, en raison du boycott des ultras toulousains et parisiens, Paris a rapidement fait la différence, en ouvrant le score dès la 3e minute, après une action de classe. Avant de partir à la Coupe d'Asie, Lee Kang-In a conclu ce mouvement avec précision, en reprenant un centre d'Ousmane Dembélé, encore intenable.

Le PSG compte désormais 49 titres : onze Championnats de France, quatorze Coupes de France, douze Trophées des champions, neuf Coupes de la Ligue, un Championnat de D2, une Coupe des Coupes et une Coupe Intertoto.