L’OM a renversé Benfica aux tirs au but, ce jeudi 18 avril, en quart de finale retour de la Ligue Europa. Les Marseillais ont réalisé un grand match pour sortir le club portugais. Buts, temps forts… Découvrez en vidéo le résumé de l’incroyable OM - Benfica en Ligue Europa.

Les Olympiens ont attendu la 79e minute pour revenir au score grâce à Moubamgna, bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang. Battu à l’aller (2-1), ce but permettait aux Marseillais de remettre les pendules à l’heure avant que les deux équipes ne se retrouvent lors de la séance de tirs au but.

L’Olympique de Marseille s’est qualifié pour la quatrième fois de son histoire en demi-finales de la Ligue Europa. Le club phocéen s’est défait du Benfica Lisbonne, ce jeudi 18 avril, à l’issue de la séance des tirs au but (1-0, 4-2 tab).

Les Olympiens ont attendu la 79e minute pour revenir au score grâce à Moubamgna, bien servi par Pierre-Emerick Aubameyang. Battu à l’aller (2-1), ce but permettait aux Marseillais de remettre les pendules à l’heure avant que les deux équipes ne se retrouvent lors de la séance de tirs au but.

Dans cet exercice, Angel Di Maria plongeait son club dans le désarroi en expédiant sa tentative sur le poteau de Pau Lopez. Derrière, aucun Marseillais n’a raté sa tentative jusqu’à l’échec d’Antonio Silva face au portier espagnol, plongeant ainsi le Vélodrome dans une joie folle.

Alors que Lille se dirigeait vers la première demi-finale européenne de son histoire, le Losc a encaissé un but qui prête à discussion en fin de rencontre, envoyant ce quart de Ligue Europa Conférence en prolongation.

Une situation confuse, et une décision qui fera parler pendant des années en terre lilloise en cas d’élimination en quart de finale de la Ligue Europa Conférence. Auteur d’un match plein et épatant, le Losc menait 2-0 face à Aston Villa, quatrième en Premier League. Et donc, et surtout, 2-1 sur la double confrontation après les buts de Yusuf Yazici (15e) et de Benjamin André (68e).

Arbitre de la rencontre, le Slovaque Ivan Kruzliak a validé le but de Matty Cash sur une lointaine frappe (87e). Mais cette réalisation aurait pu être annulée. Sur le centre précédant ce tir, l’attaquant colombien Jhon Duran a poussé dans les airs Nabil Bentaleb qui est venu heurter Lucas Chevalier.

Le gardien des Espoirs français a alors relâché la balle qui est finalement revenue sur le latéral droit international polonais. Avec la suite que l’on connaît. Sollicité, le VAR a bien validé ce but. Une situation qui prêtait à interprétation. Et celle-ci n’a pas versé en faveur des Dogues.

Après le match nul (2-2) du match aller à Londres, le Bayern Munich s’est imposé ce mardi à domicile face à Arsenal (1-0), en demi-finale retour de la Ligue des champions. Très rapidement, le jeu proposé par les deux équipes laissait imaginer que la première équipe à marquer l’emporterait. C'est ce qu'il s'est passé. Après une première période où les deux équipes se sont appliquées à respecter leur plan tactique défensif, le Bayern a réussi à se créer plusieurs occasions sérieuses en seconde mi-temps jusqu'à l'ouverture du score de Joshua Kimmich, qui a repris de la tête un centre de Guerreiro (63e).

Lors des 45 premières minutes, les deux formations se sont concentrées sur le plan défensif. Les Anglais en 4-4-2 ont constamment cherché à couper la ligne de passe vers Harry Kane, tandis que le Bayern s'est appliqué à couper les envies de Martinelli et Saka en procédant à un pressing à deux sur ces joueurs. En dehors d'une frappe de Mazraoui magnifiquement sauvé par Ben White (21e) et une frappe aux 18 mètres de Martinelli servi par Odegaard (31e), les occasions se sont fait rares.

Malgré l'ouverture du score, les Londoniens n'ont pas trouvé de solution pour prendre à revers la défense adverse. Laimer et Goretka ont fait preuve d'une intensité rare pour venir pallier leurs défenseurs centraux ou aider les latéraux. Symbole de leur importance, ce dernier tacle de Goretzka dans les pieds de Ben White (93e) alors qu’Arsenal venait de jouer un coup franc rapidement.

Avant cela, la charnière centrale allemande a annihilé toute tentative de Havertz, invisible dans ce match. Manuel Neuer n’a eu réellement besoin de s’employer qu’à une reprise, sur la frappe de Martinelli en première période. Ni l’entrée de Trossard, ni celle de Gabriel Jesus n’auront changé le visage d’un Arsenal apathique.

Après un match aller dantesque à Madrid (3-3), Skyblues et Merengues ont offert une nouvelle rencontre à suspense, mercredi, terminée aux tirs au but avec une qualification madrilène au bout de la nuit.

Un duel devenu culte. Pour leur troisième confrontation consécutive en phase éliminatoire de C1, Manchester City et le Real Madrid ont livré une nouvelle bataille d'anthologie. Après un match nul spectaculaire (3-3) à l'aller, les deux clubs ont dû aller jusqu'aux tirs au but pour se départager, mercredi 17 avril à l'Etihad Stadium. Ce sont finalement les Madrilènes qui ont arraché leur qualification après avoir fait le dos rond pendant 120 minutes.

Devant dès l'entame grâce à l'ouverture du score de Rodrygo (12e) sur un contre, le Real a concédé 33 tirs, dont neuf cadrés, mais n'a craqué qu'une fois devant Kevin De Bruyne (76e), juste ce dont il s'était offert le droit en marquant en premier. La prolongation, comme les 90 premières minutes, a donné lieu à une nouvelle phase d'attaque-défense avec des Madrilènes dangereux en transition. Les tirs au but ont tourné en faveur du Real Madrid, porté par Andreï Lounine auteur de deux arrêts dans la séance face à Mateo Kovacic et Bernardo Silva. Le Real est de nouveau au rendez-vous des demi-finales, ce sera face au Bayern, tombeur d'Arsenal.

Le PSG tient sa "remontada". Défait au match aller (2-3), mené dès la 12ᵉ minute ce mardi, le Paris Saint-Germain a arraché sa place en demi-finale de Ligue des champions face à un FC Barcelone dépassé (4-1). Porté par Ousmane Dembélé, Vitinha et Kylian Mbappé, le PSG affrontera le Borussia Dortmund dans le dernier carré de la C1.

La soirée a pourtant, au départ, pris des airs de soirée cauchemardesque. Déjà dans l'obligation de l'emporter de deux buts au moment de voyager à Barcelone, les hommes de Luis Enrique ont démarré de la pire des manières : en encaissant un nouveau but. Débordée par Lamine Yamal, la défense parisienne a pris l'eau et Raphinha, seul devant le but, a plongé les Parisiens dans le doute (1-0, 12').

Dos au mur, le PSG n'a alors plus le choix : inscrire deux buts pour arracher la prolongation, trois pour mettre les pieds dans le dernier carré. Mission impossible ? Pas pour ce PSG, bien aidé par les erreurs défensives barcelonaises. Peu avant la demi-heure de jeu, Ronald Araujo accroche Bradley Barcola, qui filait au but, à la limite de la surface. L'arbitre roumain István Kovács n'hésite pas et expulse le défenseur catalan. Le tournant de la rencontre, incontestablement.

En supériorité numérique, Paris fait parler sa maîtrise, et oblige le Barça à reculer. Jusqu'à craquer. D'abord face à Ousmane Dembélé, juste avant la pause (1-1, 40'), avant de prendre la foudre au retour des vestiaires. D'une frappe puissante de l'extérieur de la surface, Vitinha remet les deux équipes à égalité sur l'ensemble des deux matchs (1-2, 54'), avant que Kylian Mbappé, jusqu'ici très discret, ne mette fin au suspense. Sur penalty, le capitaine de l'équipe de France place Paris devant (1-3, 60'), avant d'entériner la qualification à l'aube du temps additionnel (1-4, 89').

Scénario de folie au Signal Iduna Park ! Battu par l'Atlético Madrid (2-1) il y a une semaine, le Borussia Dortmund est parvenu à arracher sa qualification en demi-finale de la Ligue des champions après une victoire renversante (4-2) face aux Colchoneros, pourtant revenus de 2-0 à 2-2. Le club allemand retrouvera le PSG, affronté en phase de groupes, dans le dernier carré.

Dortmund renversé puis renversant. Dans un match dingue qu’ils ont remporté 4-2, les joueurs d’Edin Terzic ont décroché leur billet pour les demi-finales de la Ligue des champions pour la première fois depuis 11 ans. Les futurs adversaires du PSG ont brillé collectivement et se sont rassurés offensivement à l’image d’un Niclas Füllkrug, auteur d’une très jolie tête (71e).

Après 10 matchs sans marquer, le buteur allemand a retrouvé le chemin des filets de la meilleure des manières, pour remettre les siens à hauteur de l’Atletico. A peine le temps de célébrer que Sabitzer a, lui, fait basculer la rencontre du bon côté, celui de l’équipe la plus offensive (74e). La conclusion d’une rencontre à rebondissements qui vient colorer la saison bien terne du BVB.

Angel Di Maria a encore joué un mauvais coup à l'OM. Deuxième buteur du match, l'Argentin a aidé le Benfica à dominer le club phocéen jeudi soir à Lisbonne (2-1), en quart de finale aller de la Ligue Europa. Pierre-Emerick Aubameyang a réduit la marque pour préserver l'espoir des siens en vue du match retour au Vélodrome, jeudi prochain.

Une lueur d’espoir, si infime soit-elle. Longtemps hors du coup et mené deux buts à rien, l’Olympique de Marseille a fini par bomber le torse lors du quart de finale aller de Ligue Europa, disputé sur la pelouse de Benfica, à Lisbonne. À l’arrivée, c’est quand même une cinquième défaite de suite, toutes compétitions confondues, pour les hommes de Jean-Louis Gasset (2-1), mais la réduction du score de Pierre Emerick Aubameyang et les trente dernières minutes donnent des raisons d’y croire pour le match retour au Vélodrome. Les Portugais, globalement supérieurs et sûrs d’eux, auraient dû s’imposer avec plus de marge face à un OM à deux visages. Tant mieux pour le club français.

Lille s’est incliné sur la pelouse d’Aston Villa (2-1), ce jeudi 11 avril, en quart de finale aller de Ligue Europa Conférence. Après avoir encaissé deux buts, les Lillois ont su réagir pour réduire l’écart. Tout est encore possible pour le match retour à domicile, jeudi 18 avril.

Si Lille s’est incliné sur la pelouse d’Aston Villa (2-1), ce jeudi 11 avril à Birmingham en quart de finale aller de la Ligue Europa Conférence, la formation nordiste n’a pas démérité et aurait même dû, logiquement, au moins repartir avec le match nul tant les occasions ont été nombreuses. Mais les joueurs de Paulo Fonseca sont tombés sur un grand gardien, l’Argentin Emiliano Martinez, auteur de plusieurs parades.

Le champion du monde 2022 a longtemps retardé l’échéance (24', 31', 41', 72'), mais a fini par plier face à Bafodé Diakité en fin de rencontre. Le défenseur central du Losc, titularisé à la place d’Alexsandro, a inscrit le but de l’espoir (2-1, 84') pour permettre à ses coéquipiers de réduire le score. Car avant ça, les Lillois ont plié par deux fois sur des coups de pied arrêtés, d’abord sur une tête de l’intenable Watkins (1-0, 13'), ensuite sur une frappe à l’entrée de la surface de Mcginn (2-0, 56').

Avant le match retour, jeudi 18 avril (18 h 45), Lille se retrouve en ballotage défavorable mais conserve toutes ses chances de qualification.

Mauvaise opération pour le PSG. Le club de la capitale a été battu en quart de finale aller de Ligue des champions, à domicile, par le FC Barcelone, mercredi 10 avril (2-3). Il s'agit de la première défaite des Parisiens depuis le mois de novembre, contre l'AC Milan. La victoire sera obligatoire au match retour à Barcelone pour atteindre les demi-finales.

Luis Enrique avait choisi de titulariser Lucas Beraldo et Lucas Hernandez en défense centrale, repositionnant ainsi Marquinhos sur le côté droit. Cette défense a beaucoup souffert en première période, et a souvent été prise dans son dos par Raphinha, auteur d'un doublé. Sur les coups de pied arrêtés, quelques errances au marquage ont aussi permis au Barça de se procurer des occasions et de marquer, grâce à Andreas Christensen.

S'ils se sont procuré peu d'occasions en première période, les Parisiens sont revenus des vestiaires avec de meilleures intentions. Les changements de Luis Enrique ont permis au PSG de prendre l'avantage en deux minutes grâce à Ousmane Dembélé (48e) et Vitinha (50e), très précieux mercredi soir. Touché, mais pas coulé, le Barca est revenu au score (62e) et s'est finalement imposé grâce au troisième but de Christensen (77e).

Constatant que ses joueurs étaient en difficulté après les deux buts parisiens, Xavi a effectué des changements payants. L'entrée de Pedri au milieu de terrain a notamment permis aux Blaugrana de remettre le pied sur le ballon. Le jeune Espagnol a même délivré une passe décisive à Raphinha sur son premier ballon. Andreas Christensen a lui aussi marqué tout juste entré en jeu.

L'Atlético Madrid ne s'est pas mis à l'abri. Les Colchoneros ont certes vaincu le Borussia Dortmund, ce mercredi en quart aller de C1 (2-1). Mais les hommes de Diego Simeone auraient pu espérer creuser un écart plus important au regard de leur nette domination. Le BvB, lui, est resté en vie grâce à un but de Sébastien Haller et cherchera à inverser la tendance au retour, mardi prochain.

L'Atlético de Madrid prend une option pour la qualification. Ce mercredi soir, les Colchoneros ont battu le Borussia Dortmund (2-1), lors des quarts de finale aller de la Ligue des champions. Au Civitas Metropolitano, Rodrigo De Paul (4e) et Samuel Lino (32e) ont ravi les très nombreux supporters venus pour ce grand rendez-vous, avant que Sébastien Haller ne réduise l'écart (81e). Les hommes de Diego Simeone devront assurer et éviter le piège lors du match retour, prévu mardi prochain (21h).