Didier Deschamps a présenté ce jeudi la liste des joueurs appelés en équipe de France pour le rassemblement de novembre. Les Bleus viseront la qualification à la Coupe du monde 2026 face à l'Ukraine et l'Azerbaïdjan (13 et 16 novembre en direct sur TF1 et TF1+).

La liste de l'équipe de France pour le rassemblement de novembre 2025 :

Gardiens de but : Lucas Chevalier, Mike Maignan, Brice Samba.

Défenseurs : Lucas Digne, Malo Gusto, Lucas Hernandez, Théo Hernandez, Ibrahima Konaté, Jules Koundé, William Saliba, Dayot Upamecano.

Milieux de terrain : Eduardo Camavinga, N'Golo Kanté, Manu Koné, Michael Olise, Warren Zaïre-Emery.

Attaquants : Maghnes Akliouche, Bradley Barcola, Rayan Cherki, Hugo Ekitiké, Randal Kolo Muani, Jean-Philippe Mateta, Kylian Mbappé, Christopher Nkunku.

L'Olympique de Marseille a été battu sur le fil par l'Atalanta Bergame (0-1), mercredi 5 novembre, concédant sa troisième défaite en quatre matchs. Sauvé par Geronimo Rulli, qui a repoussé un penalty, puis la VAR, le club phocéen a encaissé un but en toute fin de match, au terme d'une action litigieuse. À mi-parcours dans cette phase de ligue, les partenaires d'Igor Paixão sont virtuellement éliminés.

On n'a pas fini d'entendre parler de ce fait de jeu. Un but controversé entaché d'un scandale arbitral, une faute de main oubliée sur l'action débutée dans la surface adverse. Loin du compte aussi bien dans le jeu que dans l'état d'esprit, indignes d'une grande soirée européenne, l'OM s'est néanmoins logiquement incliné contre l'Atalanta Bergame (0-1), mercredi 5 novembre, à mi-parcours dans cette première phase de la Ligue des champions.

Après avoir laissé filer le nul sur la pelouse du Real Madrid (2-1) puis s'être incliné chez le Sporting Portugal (2-1) - à chaque fois après avoir mené -, le club olympien se savait déjà dans l'obligation de faire un résultat au Vélodrome. Mais il n'a rien fait pour arranger sa situation. Dans la lignée de ses dernières sorties, Marseille a livré une première période très pauvre, parfois même assez peureuse, faite d'hésitations, d'imprécisions et d'incompréhensions.

Pour autant, les partenaires de Mason Greenwood ont longtemps réussir à tenir le 0-0. Geronimo Rulli a provoqué et repoussé un penalty (14ᵉ) , puis la VAR a annulé un but d'Ademola Lookman (69ᵉ), pour une position de hors-jeu de Krstovic, pas si évidente. Finalement, c'est au bout du temps réglementaire que l'OM s'est fait piéger. Lazar Samardzic a conclu un raid de plus de 50 mètres en décochant une frappe magistrale dans la lucarne opposée (90ᵉ, 0-1). Un but qui a rendu fous furieux les Marseillais. Et pour cause, l'Atalanta a marqué sur l'action consécutive à une main assez claire d'Éderson dans sa surface, jugée involontaire, alors qu'eux s'étaient arrêtés de jouer pour réclamer un penalty.

Si ce dénouement est injuste, sur l'ensemble du match, l'Atalanta n'a pas volé sa victoire. C'est même tout le contraire. À l'image de leurs affreuses 45 premières minutes, les hommes de Roberto De Zerbi n'ont jamais réussi à emballer la partie. Au grand dam du Vélodrome, qui voit déjà les barrages s'éloigner. À mi-parcours, l'OM compte trois défaites en quatre matchs. Un bilan insuffisant qui le place au 25ᵉ rang, juste au-delà de la ligne de qualification.

Le Paris Saint-Germain a connu sa première défaite de la saison en Ligue des champions face au Bayern Munich (1-2), mardi soir au Parc des Princes, malgré une deuxième période jouée en supériorité numérique. Luis Diaz a fait la différence avec un doublé inscrit en première période, avant d'être exclu. Ousmane Dembélé et Achraf Hakimi, eux, sont sortis sur blessure.

Le PSG s’est incliné contre le Bayern Munich au Parc des Princes en grande partie à cause d’une première période catastrophique marquée par de nombreux problèmes défensifs. Pour ne rien arranger aux malheurs parisiens, Dembélé et Hakimi sont sortis blessés.

La défaite parisienne s’explique principalement par les erreurs individuelles qui ont offert les deux buts bavarois, comme l’a reconnu Luis Enrique : « Si tu fais des cadeaux à ce niveau, c’est but et c’est fini ».

Malgré une amélioration en seconde période facilitée par l’expulsion de Luis Diaz et un but de João Neves, le PSG n’a pas pu combler son retard face à une équipe du Bayern qui a intelligemment défendu son avantage.

À la recherche de sa première victoire de la saison en Ligue des champions, l'AS Monaco se déplaçait en Norvège sur la pelouse de Bodo/Glimt ce mardi soir à l'occasion de la 4e journée de C1. Au terme d'une rencontre assez terne, les Monégasques ont disposé des Norvégiens grâce à un but de Folarin Balogun (0-1). Un succès qui va faire du bien à l'ASM et qui ravive ses espoirs de qualification.

Soirée parfaite pour l’ASM. Monaco a réussi son coup en Norvège en battant Bodoe/Glimt (1-0) mardi grâce à un but de Folarin Balogun, et a enfin remporté un premier succès cette saison en Ligue des champions, dont on disputait la 4e journée.

Avec cinq points au compteur avant son déplacement à Limassol pour défier les Chypriotes de Pafos, puis la réception des Turcs du Galatasaray lors de la 6e journée, Monaco s’est donc bien relancé dans la course à la qualification pour les barrages.

Et cette victoire au nord du cercle polaire peut être considérée comme un exploit, tant les Norvégiens y avaient fait tomber nombre d’équipes ces dernières saisons. Le capitaine Patrick Berg et les siens restaient d’ailleurs sur six victoires et un nul lors de leurs huit derniers matches européens à la maison.

Vainqueur du Slovan Bratislava pour son entrée en lice, Strasbourg a concédé le match nul (1-1) lors de la 2e journée de Ligue Conférence à la Meinau face aux Polonais de Jagiellonia Bialystok. Sorti du banc, Joaquin Panichelli a inscrit un but sublime.

Strasbourg peut remercier Joaquin Panichelli. Entré à l'heure de jeu, l'attaquant argentin en pleine bourre a permis au RCSA d'égaliser d'un retourné (79e) face au Jagiellonia Bialystok, jeudi, lors de la 2e journée de Ligue Conférence. Mais les hommes de Liam Rosenior n'ont pu faire mieux qu'un match nul (1-1) face aux champions de Pologne, qui avaient ouvert le score contre le cours du jeu par l'intermédiaire de Dusan Stojinovic (53e).

À la Meinau, les Strasbourgeois ont dominé les Polonais, qui restaient sur 17 matches sans défaite toutes compétitions confondues, mais sans concrétiser cette mainmise sur le ballon. Le tir de Félix Lemaréchal (1re) est passé au-dessus, celui de Sebastian Nanasi a été stoppé par le jeune gardien Milosz Piekutowski, 19 ans (4e). Puis les Alsaciens ont connu un gros temps fort à la demi-heure de jeu : les frappes de Lemaréchal, Martial Godo, Lucas Högsberg, Abdoul Ouattara ont soit manqué le cadre, trouvé les gants du portier ou été contrées. Et le score était nul et vierge à la pause.

Le RCSA a poursuivi sa domination à l'entame de la deuxième mi-temps. Sur une mauvaise relance de Jagiellonia, Kendry Paez a décoché une superbe frappe du gauche qui a trouvé le poteau (50e). La rencontre a alors pris une autre tournure. Quelques instants plus tard, sur un coup franc lointain des Polonais, Dusan Stojinovic a pris le meilleur sur Högsberg pour ouvrir le score, façon Zlatan Ibrahimovic.

Mené 3-0 à la pause, le LOSC a livré une grosse seconde période, mais s'incline finalement contre le PAOK (3-4), dans le cadre de la troisième journée de la phase de Ligue.

Lille y a cru, Lille a eu peur de terminer le match avec un score sévère à domicile avant de remonter mais le LOSC a surtout cédé au bout d'un match au scénario fou face aux Grecs du PAOK Salonique ce jeudi soir en Ligue Europa (3-4). Il y avait déjà 0-3 à la pause puis 2-4 à un quart d'heure de la fin avant que Lille ne pousse, sans succès.

Même madame Irma n’aurait pu imaginer un tel spectacle ! Le LOSC s’est incliné sur sa pelouse face au Paok Salonique (3-4), ce jeudi soir pour la 3ème journée de Ligue Europa. Une rencontre décousue dans laquelle les Dogues sont d’abord rentrés aux vestiaires sous les sifflets, menés 0-3 ! En seconde période, ils ont cru à l’exploit avec une égalisation de Benjamin André à la 96e minute de jeu. Une joie de courte durée effacée par l’intervention de l’assistance vidéo, signalant un hors-jeu du capitaine nordiste.

Avec une équipe remaniée, et notamment la première titularisation d’Ugo Raghouber, Bruno Genesio a aligné un 4-2-3-1 habituel. Une rencontre dans laquelle le LOSC s’est sabordé défensivement. Isolé à l’entrée de la surface, l’ancien Lillois Meïté offrait le premier but aux Grecs d’une frappe au sol, le long du poteau d’Ozer. Cinq minutes plus tard, Zivkovic partait de la ligne médiane dans le dos des défenseurs pour tromper une nouvelle fois le portier nordiste.

L’action de la première période est arrivée à la 39e minute. En contre, Fernandez-Pardo est retenue par le maillot, par le défenseur Kedzoria. L’arbitre de la rencontre, Nikola Dabanović, n’y a pas vu de faute. Appelé par le VAR, il n’a pas changé sa décision terrain, malgré les images passées sous ses yeux. Un choix d’abord difficilement compréhensible, tant la faute paraîssait évidente, finalement devenue cruciale puisque quelques secondes après la reprise du jeu, Konstantelias trouvait un trou de souris pour placer le ballon dans la cage lilloise (0-3).

Une décision arbitrale qui a mis en pétard le président du LOSC Olivier Létang, venu au contact du corps arbitral. Il a indiqué avoir contacté le président de l'UEFA Aleksander Čeferin en précisant, en anglais, que "ce qu'il s'est passé est incroyable".

Malgré ces trois buts de retard, le LOSC s’est pleinement engagé en seconde période. Sur corner, Benjamin André (57e) et Igamane (68e) ont permis de revenir à un but des Grecs. Les arrêts de Tsifsis (60e, 61, 65e) ont transformé la rencontre en folie footballistique. Ozer a de nouveau repoussé un penalty du Paok (70e) après ses exploits de Rome. Igamane a rapidement répondu (78e) au nouveau but de Zivkovic (74e).

Le stade Pierre Mauroy a d’abord frissonné, lors des entrées de Giroud et d’Haraldsson, puis sur le poteau de Fernandez-Pardo (90+3) sur un centre. Il s’est ensuite enflammé lors de l’égalisation à 4 partout de Benjamin André au bout de temps additionnel (90+6). Il s’est ensuite éteint lorsque le VAR a indiqué à l’arbitre central que le Nordiste se trouvait en position de hors-jeu sur la remise d’Olivier Giroud. 

Les amateurs de football pourront se languir de cette soirée où les émotions sont devenues les protagonistes. Les supporters français regretteront l’absence de point à l’issue de cette rencontre. Au classement, avec 6 points, le LOSC se trouve actuellement 11e au classement. Le Paok remonte à la 20e position avec 4 points.

Ce n’est plus une malédiction mais juste une fâcheuse habitude : l’OGC Nice a traversé un 15e match consécutif de Coupe d’Europe sans victoire ce jeudi soir en Galice (2-1). En course à la pause pour glaner leur premier point de leur campagne 2025-26 (1-1), les Niçois ont finalement craqué face au 17e de Liga dans une seconde période vécue à dix contre onze.

Les Aiglons avaient déjà été cueillis à froid par l’ouverture du score éclair d’Iago Aspas (2’, 1-0). La légende du Celta Vigo, honorée d’un tifo au coup d’envoi pour fêter sa 534e apparition avec son club formateur - un record -, a déclenché une frappe soudaine des vingt-cinq mètres qui n’a laissé aucune chance à Diouf. Le 217e but du capitaine de 38 ans sous le maillot céleste n’a pas empêché le Gym de réagir par l’intermédiaire de Cho, bien lancé dans la profondeur par Abdul Samed (16’, 1-1).

Appliqués tactiquement et solidaires dans les efforts, les Niçois ont eu l’opportunité de passer devant au score lorsqu’Abdi a buté sur Radu à l’arrivée d’un coup franc frappé côté gauche, avant d’être finalement pénalisés par l’expulsion de Clauss, pourtant capitaine du soir, pour deux avertissements grotesques récoltés en moins de dix minutes (29’, 38’).

A dix contre onze, les hommes de Franck Haise ont subi, ont eu beaucoup de mal à garder le ballon et même vu Iglesias toucher le poteau gauche de Diouf (61’), auteur d’une faute de main un peu plus tôt (sauvé par un hors-jeu espagnol) et d’une sortie complètement manquée un peu plus tard. Le portier a eu beau détourner une frappe enroulée de Zaragoza (71’), il subissait logiquement le second but au coeur de la domination galicienne... sur un coup du sort.

Iglesias avait en effet buté sur la sortie de Diouf mais le ballon revenait sur la main d’Oppong pour finir dans le but vide niçois (75’, 2-1).

L'OL poursuit son sans-faute européen ! Victoire 2-0 dans la douleur face à Bâle. Tolisso et Moreira buteurs, Greif héroïque. 9/9 points !

L'Europe comme un refuge, l'Europe comme une certitude. Dans le dur en championnat après deux défaites consécutives, l'Olympique Lyonnais a retrouvé des couleurs, le goût de la victoire et une bonne dose de confiance en dominant le FC Bâle (2-0) au Groupama Stadium. Au terme d'un match à deux visages, où le meilleur a longtemps côtoyé le pire, les Gones ont su faire le dos rond pour signer un troisième succès en autant de rencontres européennes. Un sans-faute qui confirme leurs ambitions sur la scène continentale et qui prouve que cette équipe a du caractère.

Il ne fallait surtout pas arriver en retard à Décines ce jeudi soir. Trois minutes de jeu à peine, un pressing haut et agressif du jeune Mathys De Carvalho, une relance hasardeuse du gardien suisse, et Corentin Tolisso, en capitaine exemplaire, concluait avec un sang-froid clinique pour mettre d'entrée l'OL sur les rails du succès. Le scénario idéal, qui aurait dû et qui aurait pu annoncer une soirée de gala et un cavalier seul des Lyonnais.

Mais cet OL, aussi séduisant soit-il dans le jeu, est parfois retombé dans son péché mignon de la saison passée : un manque de réalisme criant. La première période, largement dominée, fut un long festival d'occasions vendangées. Martin Satriano par deux fois, le jeune Abner, puis un Tanner Tessmann bien trop égoïste au goût d'un capitaine Tolisso furieux... L'OL aurait pu, aurait dû, plier le match et s'offrir une seconde période tranquille. En laissant Bâle en vie à la pause, il s'est exposé à quarante-cinq minutes de souffrance et de doute.

Pourtant sur une excellente dynamique avant la rencontre, l'Olympique de Marseille s'est incliné au Sporting Portugal (2-1), mercredi 22 octobre. Avec cette deuxième défaite en trois journées de Ligue des champions, les Phocéens plafonnent au classement.

Une occasion manquée. Pourtant supérieur en première période, l'Olympique de Marseille s'est incliné contre le Sporting Portugal (2-1), mercredi 22 octobre. Longtemps plus inspirés sur le plan technique, les Phocéens ont logiquement été récompensés par l'ouverture du score de l'intenable Igor Paixao, auteur d'un superbe enchaînement contrôle en pleine course et frappe enroulée de 20 mètres victorieuse (14').

Mais la rencontre a tourné en l'espace de quelques minutes, lorsque Emerson a écopé d'un carton jaune (39') - certes sévère - puis d'un deuxième avertissement, synonyme d'exclusion, pour une grossière simulation (45'). Alors que les joueurs de De Zerbi pensaient bénéficier d'un penalty, ils ont finalement été réduits à 10 après consultation de la VAR, pour ce geste incompréhensible du latéral. Au coup de sifflet final, Pierre-Emerick Aubameyang s'en est plutôt pris à l'arbitre, évoquant au micro de Canal+ un premier jaune" "scandaleux" "et une prestation, selon lui, pas au niveau de la Ligue des champions. ""On a payé des erreurs d'arbitrage"", a pesté son entraîneur, Roberto De Zerbi.

Quoi qu'il en soit, après ce fait de jeu, les visiteurs ont passé une deuxième période en enfer, subissant les vagues lisboètes. Ils n'ont sans doute pas été aidés, il faut le reconnaître, par les changements frileux de leur entraîneur - avec la sortie rapide de Mason Greenwood pour l'entrée du défenseur Amir Murillo notamment. À force de subir, l'OM a plié. Les entrants Geny Catamo (69'), d'une frappe sèche, puis Alisson Santos (86'), qui a vu sa tentative contrée par Pavard tromper Rulli, ont permis aux locaux de renverser la tendance au tableau d'affichage.

Avec ce revers, le deuxième en trois sorties en C1 cette saison, Marseille rétrograde à la 18e place du classement de la phase de ligue. Pour espérer se qualifier au prochain tour, le club du sud de la France devra faire le plein à domicile contre l'Atalanta, le 5 novembre prochain, avant des matchs compliqués contre Newcastle et Liverpool.

Nul terriblement frustrant pour Monaco, qui n'est pas parvenu à trouver la faille contre Tottenham (0-0) malgré un nombre incalculable de situations. La performance est très encourageante mais les joueurs de Sébastien Pocognoli n'avancent pas dans cette phase de ligue.

Après avoir arraché le nul face à Manchester City lors de la précédente journée (2-2, le 1er octobre), Monaco a de nouveau partagé les points contre Tottenham (0-0), une autre équipe anglaise, ce mercredi soir. Mais cette fois, ce résultat ne pourra satisfaire l'ASM. Après trois matches, le club de la Principauté ne compte que deux points et il faudra évidemment accélérer le rythme pour espérer atteindre au moins les play-offs de la Ligue des champions.

Malgré pléthore d'absents (Zakaria, Pogba, Dier, Hradecky, Vanderson et Camara), Monaco a délivré une bonne prestation pour la deuxième de Sébastien Pocognoli, son nouvel entraîneur, sur le banc. Mais les Monégasques n'ont jamais réussi à marquer, butant à plusieurs reprises devant Vicario, à l'image de Balogun (28e, 36e), Golovine (67e) ou Teze (75e), ou manquant le cadre, comme Kehrer (68e) ou Minamino (78e, 82e).

La délivrance n'est pas non plus venue d'Akliouche, formidable par ses ouvertures mais lui aussi muet face au but. Alors, si Monaco a obtenu son premier clean-sheet de la saison, ce match lui laissera sans doute un goût amer face aux Spurs de Kevin Danso, Wilson Odobert ou Randal Kolo Muani, entré à la 70e minute.